# 152

Le casque de vélo de course

Jean ROBIC premier champion à l'adopter, après la seconde guerre mondiale.

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Obligatoire ! Avant même d'être confortable, grâce à ses appuis réglables en mousse à mémoire de forme. Avant même sa légèreté, son profil travaillé pour fendre l'air, l’antibruit aux oreillettes, son système d'irrigation maîtrisée pour refroidir nos petites têtes sportives, ce casque doit être tout simplement "porté" ! Une fois enfilé, eh bien, c'est la tête dans le guidon !

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 Si la sécurité est le but majeur du casque de vélo, tout le reste est tout de même chargé d’inconvénients : c’est un peu lourd, ça ventile moins bien, ca gène, ça pince, çà fait des bosses aux cheveux … et en plus,  c’est pas très esthétique. Bref, on ne transige pas avec la sécurité.

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Le petit grimpeur breton, premier à se protéger le crâne après sa chute du Paris-Roubaix en 1944, avait le surnom de «Tête de cuir». Il a fallu attendre une trentaine d’années pour voir débarquer des Etats-Unis des modèles allégés et profilés, tout comme Bell qui distribuera en 1975, le premier casque en polystyrène expansé. Mais là encore les Européens boudèrent longtemps cette protection, trop attachés à leurs casquettes vintages et autres bandanas… Sacrés têtes de pioche oui ! "WIKIPIO"