La lampe JIELDÉ

Plus qu’un souvenir…

J’ai eu la chance d’écouler de très nombreuses « charrettes » durant mes études, en croquant sur une véritable table d’architecte de marque Heliolithe, sous la douceur d’un éclairage « directionnel » JIELDE.

Magnifique illustration de l’efficacité d’un combo réfléchit et solidement élaboré.

Petit bémol toutefois : les incontournables déménagements de fin et début d’année scolaire…

Tellement évident !

Saviez-vous que son nom est tout simplement la prononciation des 3 lettres « J », « L », « D », initiales du créateur.

À l’origine, ces luminaires étaient voués à une utilisation professionnelle dans les milieux industriels et que leur fabrication a débuté dans le 3e arrondissement de Lyon pour être délocalisée par la suite à St Priest.

Chaque lampe fabriquée est unique par son numéro et sont toujours proposées dans un large choix de couleur et de finition.

Dans les années 40, Jean-Louis Domecq, constate qu’il lui faudrait un luminaire adapté aux activités de son métier.

Il imagine une lampe au bras articulé, robuste et dépourvue de fils dans les articulations.

En 1950, le projet se concrétise avec sa liaison électrique rendue possible par des contacts de cuivre, permettant une rotation jusqu’à la limite mécanique.

En 1961, La Standard s’installe au-dessus des planches à dessin.